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Thierry, 1687 / Gaudault, 1852 / Beuchet-Debierre, 1957, 1962
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L'Hôtel des Invalides comprend le plus grand ensemble architectural de la ville de Paris. Les monuments inclus sont:
En 1670, Louis XIV fonde Les Invalides près de ce qui est appelé alors the Plaines Grenelle. Une résidence pour les vieux soldats qui fut financé par un prélèvement sur le salaire des soldats actifs, pendant cinq ans. Le projet allait devenir la résidence pour 4,000 soldats. Ce chantier, le deuxième par l'importance après celui de Versailles, débuta en 1671. La construction se fit d'après les plans élaborés par Libéral Bruant et fut complété en 1676. L'esplanade est l'oeuvre de Robert de Cotte.
En 1676, pour le projet de l'église, le Roi remplace Libéral Bruant par Jules Hardouin-Mansart qui verra d'abord à la construction de « l'église des soldats » pour le culte quotidien des pensionnaires pour ensuite entreprendre la construction de la grande église royale, dite « église du Dôme » (reprenant les plans de son grand oncle François Mansart initialement conçus pour un mausolée des Rois de France à Saint-Denis).
L'église des soldats, ouverte en 1677, contient les drapeaux pris à l'ennemi en guise de décoration et sera complétée en 1679. En revanche, le gros oeuvre de l'église royale ne fut terminé qu'en 1687 pour des raisons de crédits, puis la charpente et le dôme furent achevés en 1690. Elle sera inaugurée par le roi le 18 août 1706 après avoir reçu son célèbre dôme doré qui culmine à 107 mètres (351 pieds) du sol. L'église sera complétée, en 1735, par de Cotte après le décès de Mansart en 1708.
L'église du Dôme est un chef d'œuvre de l'architecture classique française; son décor est confié aux plus grands artistes de Louis XIV (Charles de la Fosse, Jean-Baptiste Jouvenet et François Girardon) qui travaillent aussi à Versailles. L'intérieur carré, en forme de croix grecque de 56 m de côté, laisse une impression de magnificence sans surcharge, due à la richesse des matériaux employés, tant dans les colonnes et les bas-reliefs que le pavage de marbre.
Jusqu'à la Révolution, les deux églises se partageaient le même maître-autel dont la hauteur du retable atteint 7 mètres (23 pieds) et réalisé, entre 1843 et 1853, par Louis Tullius Joachim Visconti.
C’est à l’église des Invalides qu’eut lieu la première exécution de la Grande messe des morts (le Requiem) d'Hector Berlioz le 5 décembre 1837 sous la direction de François Habeneck.
L'évènement le plus significatif dans l'histoire des Invalides demeure indiscutablement le retour de la dépouille mortelle de Napoléon en 1840. Après sept ans de négociations avec le gouvernement britannique, Louis-Philippe, Roi de France, obtint la permission de rapatrier les restes de l'empereur de l'île Saint-Hélène. Le 8 octobre 1840, 19 ans après la mort de l'empereur, le cercueil est exhumé et ouvert pendant deux minutes avant son transport en France à bord de la frégate « La Belle Poule ». Les personnes présentes certifient que le corps était dans un état parfait de préservation.
Après son arrivée au Havre, le corps fut dirigé vers Paris par la Seine. Le 15 décembre 1840, des funérailles d'état furent célébrées et, malgré une tempête de neige, le cortège se dirigea vers l'Arc-de-Triomphe et descendit les Champs-Élysées à travers la Place de la Concorde et à l'Esplanade pour enfin arriver à la chapelle Saint-Jérôme. Le cercueil demeurera dans cette chapelle jusqu'à ce que le mausolée, concû par le sculpteur Louis Tullius Joachim Visconti, soit complété.
Une crypte ouverte est creusée sous le dôme pour recevoir le mausolée. Le 3 avril 1861, ses restes furent inhumés dans le mausolée. Le tombeau, façonné dans des blocs de porphyre rouge de Russie, placé sur un socle de granit vert des Vosges, est cerné d'une couronne de lauriers et d'inscriptions rappelant les grandes victoires de l'Empire. Dans la galerie circulaire, une suite de bas-reliefs sculptés par Simart figurent les principales actions du règne ainsi que 12 statues de marbre blanc, oeuvre de Jean-Jacques (James) Pradier.
En 1873, l'architecte Alphonse Crépinet procèse à la séparation de l'église des soldats de l'église du dôme au moyen d'un large mur de verre.
En 1989, à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, le dôme a été redoré pour la cinquième fois depuis sa création; 18 artisans ont utilisé 550 000 feuilles d'or, c'est à dire plus de dix kilos (27 livres), pour l'opération.
L'orgue
La tribune, sur laquelle repose l'orgue est établie au-dessus du porche, est close par une balustrade en pierre ajourée, qui se développe au-dessus d'une corniche soutenue par quatre consoles. Le buffet, selon la coutume généralement observée dans les instruments importants est en deux parties: positif et grand-orgue, mais superposés au lieu d'être séparés par la fenêtre des claviers; occasionnée par la fantaisie de l'architecte ou le besoin d'économiser la place sur la tribune, cette disposition donne à la façade de cet orgue un caractère tout spécial que l'on ne retrouve nulle part ailleurs. Le buffet a une hauteur d'environ 11 mètres (36 pieds) sur 1,65 m (5,4 pieds) de profondeur; le positif, haut et large de 3 mètres (9,8 pieds) est de la même profondeur que le grand-orgue. Le dessin de ce buffet d'orgues doit avoir été donné par Jules-Hardouin Mansart.
Le positif, qui comprend trois tourelles et deux plates-faces, est épaulé par deux atlantes au torse nu, tenant des guirlandes de fleurs et supportant la corniche sur laquelle repose le grand-orgue; celui-ci est composé de neuf groupes de tuyaux répartis entre cinq tourelles et quatre plates-faces, reliées aux tourelles par des espèces d'ailerons accompagnés de palmes et de guirlandes richement sculptées. Chaque tourelle repose sur un cul-de-lampe orné de têtes de chérubins; celle du centre est sommée d'une couronne royale, les autres sont dominées par des vases à flammes. La menuiserie est confiée à Germain Pillon pour une somme de 4 000 livres et acceptée le 25 mars 1679. Elle est en bois peint en blanc et rehaussé de filets d'or; les deux atlantes et tous les ornaments sont égalements dorés.
L'instrument, sorti des ateliers d'Alexandre Thierry, ne devait céder en rien comme composition sonore et qualité de facture, à la magnificence du meuble qui était destiné à la recevoir. À l'origine, l'instrument comprenait 37 jeux répartis entre quatre claviers manuels et pédalier, et alimentés par cinq grands soufflets fournissant du vent à la pression de 8 cm. Le devis, préparé par Alexandre Thierry et soumis pour consultation à Nicolas Le Bègue, fut accepté le 12 mai 1679.
L'instrument fut reçu le 10 octobre 1686 par les organistes Nicolas Le Bègue, Jacques-Denis Thomelin, Gabriel Garnier, et le facteur Hippolyte Ducastel qui réclamèrent l'adoucissement du clavier du grand-orgue et quelques améliorations à la soufflerie. La réception définitive eut lieu le 23 mars 1687 par l'organiste Guillaume-Gabriel Nevers et le facteur Robert Clicquot.
En 1693, l'organiste titulaire, Gabriel Garnier, obtint l'accord de Thierry pour que le facteur Julien Tribuot ajoute un flûte ouverte 4' à la pédale puis en 1718, pour l'ajout d'un clairon 4' à la pédale.
Régulièrement entretenu et réparé, l'instrument assura le service jusqu'en 1793. Abandonné pendant la Révolution, il se dégrade rapidement si bien que le 28 septembre 1795, une commission, composée des organistes Claude Balbastre, Éloi-Nicolas-Marie Miroir, Jean Landrin et des facteurs Jean Somer et François Dallery, déclare l'instrument hors d'état de pouvoir servir et dans un état de vétusté qui ne permet pas d'en faire usage. Il fut simplement ordonné de fermer la tribune et d'empêcher quiconque d'y pénétrer.
À la réouverture de l'église, le facteur Jean Somer présente un devis de réparation qui s'élève à 8 500 francs. Ce devis, daté du 3 mars 1806, est approuvé et exécuté. Les travaux doivent se terminer le 15 août 1807. La réception des travaux a eu lieu le 7 octobre 1807 par les organistes Éloi-Nicolas-Marie Miroir, Jacques-Marie Beauvarlet-Charpentier et Nicolas Séjean, l'organiste titulaire.
En 1843, le facteur Charles Gadault exécuta un relevage de l'instrument. En 1849, l'état de l'orgue rendait urgente une restauration complète. Elle ne fut pourtant décidée qu'après l'incendie survenu le 12 aoùt 1851. Cette fois, une reconstruction fut considérée et les devis proposés par les facteurs Ducroquet (38 jeux pour 30 000 francs), Gadault (40 jeux pour 26 000 francs) et Cavaillé-Coll (42 jeux pour 36 000 francs) furent examinés. Naturellement Gadault l'emporta et le contrat fut signé le 11 mars 1852. Cette reconstruction mena à une dénaturation complète de l'esthétique d'origine: suppression du plein-jeu du grand-orgue, des jeux de tierce du grand-orgue et du positif, et de la quarte. Les travaux furent reçus aux mois d'octobre et novembre 1853 par une commission composée des organistes Daniel-François-Esprit Auber, François Benoist, Louis-James-Alfred Lefébure-Wély, Alexandre-Charles Fessy, Charles Poissant ainsi que le facteur Pierre Erard et l'architecte Auguste Rougevin.
Des réparations ont été effectuées en 1897 par Bonneau et Béasse, et par John Abbey en 1923 qui pose une ventilateur électrique et une nouvelle console. Bernard Gavoty, nommé titulaire en 1942, se préoccupe de faire reconstruire l'instrument par Beuchet-Debierre de 1955 à 1957. Ils interviendront aussi en 1962 et en 1979 où ils ajouteront deux jeux en chamade.
La tuyauterie est composite: une dizaine de jeux subsistent de l'orgue original, en particulier les principaux du grand-orgue et du positif; une quinzaine de jeux de Gadault, en particulier les anches et flûtes de la pédale; tous les autres jeux sont de Beuchet-Debierre.
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Les Invalides comprises the largest single collection/complex of monuments in Paris, including:
In 1670, Louis XIV founded Les Invalides near what was then called the Grenelle Plain. An old soldiers home, it was funded by a five year levy on the salaries of soldiers currently serving in the army at that time. It was to become a complex providing quarters for 4,000. This project, the second im importance after the Versailles project, began in 1671. Construction followed plans drawn up by Libéral Bruant, and was completed in 1676. The Esplandade was layed out by Robert de Cotte.
In 1676, for the church construction project, the King replaces Libéral Bruant by Jules Hardouin-Mansart who will first complete the "soldiers' church" for the residents' daily services and then start the construction of the large toyal church, called the "dome church" (taking up plans drawn by his uncle, François Mansart, originally designed for a mausoleum for the Kings of France at St. Denis).
The soldiers' church, opened in 1677, houses the flags taken from the enemy by way of decoration and was completed in 1679. On the other hand, the framework of the roayl church was completed only in 1687 due to lack of funds while the structure and the dome were completed in 1690. It was inaugurated by the King on August 18, 1706 after the dome, which peaks at 351 feet (107 meters) above ground, was gilded. The church will be completed, in 1735, by de Cotte after Mansart's death in 1708.
The Dome church is a masterpiece of the French classic architecture; its decoration was commissionned to Louis IXV's greatest artists (Charles de la Fosse, Jean-Baptiste Jouvenet and François Girardon) who also worked at Versailles. The Greek cross shaped square interior gives the impression of magnificence without overload, due to the rich materials used, in pillars and bas reliefs as well as the marble flooring.
Up to the Revolution, the two churches used the same high altar whose reredos peaks at 23 feet (7 meters) and built, between 1843 to 1853, by Louis Tullius Joachim Visconti.
It is in this church that the world's première of Hector Berlioz's Requiem was given on December 5, 1837 under the direction of François Habeneck.
The most significant event in the history of Les Invalides is, unquestionably, the return of the body of Napoléon in 1840. After seven years of negotiations with the British government, Louis-Philippe, King of France, obtained permission to repatriate the Emperor's remains from St. Helena. On October 8, 1840, 19 years after the death of the Emperor, the coffin was exhumed and opened for two minutes before transport to France aboard the frigate "La Belle Poule". Those present claim that the body remained in a state of perfect preservation.
After arriving at Le Havre, it was brought up the Seine and landed at Paris at Courbevoie. On December 15, 1840, a state funeral was held, and despite a winter snowstorm, the hearse proceeded from the Arc de Triomphe down the Champs-Elysées, across the Place de la Concorde to the Esplanade and finally to the cupola in St Jerome's Chapel. The coffin would stay in this chapel until the tomb, designed by Louis Tullius Joachim Visconti, was completed.
An open crypt was dug under the dome to receive the tomb. On April 3rd, 1861, Napoléon came to his final rest in the crypt under the dome. The tomb, made of Russian red porphyry, set on a base made of green granite from the Vosges, is surrounded by a crown of laurels and inscriptions about the great victories of the Empire. In the circular galery, a group of bas-reliefs sculpted by Simart depict the main actions of his reign along with 12 statues made of white marble by Jean-Jacques (James) Pradier.
In 1873, architect Alphonse Crépinet separated the soldiers' church from the dome church by a large glass wall.
In 1989, on the bi-centennary of the French Revolution, the dome was gilded for the fifth time since its creation; 18 craftsmen used 550 000 gold sheets, more than 27 pounds (10 kilos) for the operation.
The Organ
The gallery, on which the organ is installed above the porch, is closed by a stone balustrade with an openwork design that expands above a cornice supported by four cantilevers. The organcase, generally designed for large instruments is divided into two sections: Positif and Grand-Orgue, but superimposed instead of being seperated by the console; caused by the architect's imagination or the need to save space in the gallery, this layout gives the façade a very special look found nowhere else. The organcase is 36-feet (11-meters) high by 5.4-feet (1.65 meter) deep; the Positif has a height and width of 9.8-feet (3-meters), it has the same depth as the Grand-Orgue. The design of the organcase is attributed to Jules Hardouin-Mansart.
The Positif, composed of three turrets and two flats, is backed up by two telamons with nude torsos holding guirlands of flowers and supporting the corniche on which rest the Grand-Orgue; this one is composed of nine groups of pipes spreaded into five turrets and four flats connected to the turrets by consoles complemented with richly sculptered palm leaves and guirlands. Each turret rests on a cul-de-lampe decorated with cherub heads; the center one is topped with a royal crown, the others with vases with flames. Woodwork was commissionned to Germain Pillon for an amount of 4,000 pounds and was accepted on March 25, 1679. It is painted in white and enhanced with gold lines; the two telamons and all the ornements are also gilded.
The instrument, built by Alexandre Thierry, with its tonal structure and quality of craftmanship was to be every bit equal with the magnificent organcase intended to house it. Originally, it was a 37-stop instrument over four manuals and pedal and fed by five large bellows producing an 8-cm wind pressure. The stop list, devised by Alexandre Thierry and submitted for consultation to Nicolas Le Bègue, was accepted on May 12, 1679.
The instrument was received on October 10, 1686 by organists Nicoals Le bègue, Jacques-Denis Thomelin, Gabriel Garnier and organbuilder Hippolyte Ducastel who requested the softening of the Grand-Orgue manual and other modifications to the wind system. The final reception was held on March 23, 1687 by organist Guillaume-Gabriel Nevers and organbuilder Robeert Clicquot.
In 1693, Gabriel Garnier, the titular organist, obtained Thierry's consent so that organbuilder Julien Tribuot could add a 4' Flûte ouverte in the Pedal division, and again in 1718, to add a 4' Clairon also in the Pedal division.
Regularly maintained and repaired, the instrument was inservice until 1793. Abandonned during the Revolution, it rapidly deteriorated so that on September 28, 1795, a commission, made up of organists Claude Balbastre, Éloi-Nicolas-Marie Miroir, Jean Landrin and organbuilders Jean Somer and François Dallery, asserts that the instrument is out of order and in such a delapidated state that it cannot be used. It was ordered that the gallery be closed and everyone prevented to enter.
When the church reopened, organbuilder Jean Somer submitted a list of repairs to be carried out at a cost of 8,500 francs. This list of repairs, dated March 3, 1806, was approved and works were carried out. They were to be completed by August 15, 1807. Reception of the repaired instrument took place on October 7, 1807 by organists Éloi-Nicolas-Marie Miroir, Jacques-Marie Beauvarlet-Charpentier and Nicolas Séjean, the titular organist.
In 1843, organbuilder Charles Gadault carried out a renovation of the instrument. In 1849, a complete restoration of the instrument was planned. The decision was taken only after the fire that occurred on August 12, 1851. This time, a reconstruction was considered and estimates submitted by organbuilders Ducroquet (38 stops for 30,000 francs), Gadault (40 stops for 26,000 francs) and Cavaillé-Coll (42 stops for 36,000 francs) were considered. Naturally, Gadault won and the contract was signed on March 11, 1852. This reconstruction led to a complete denaturation of the original aesthetics: removal of the Plein-jeu in the Grand-Orgue, removal of the Tierce stops in the Grand-Orgue and the Positif, and also of the Quarte. Works were received in the months of October and November 1853 by a commission made up of organists Daniel-François-Esprit Auber, François Benoist, Louis-James-Alfred Lefébure-Wély, Alexandre-Charles Fessy, Charles Poissant and organbuilder Pierre Erard and architect Auguste Rougevin.
Repairs were carried out in 1897 by Bonneau and Béasse, and by John Abbey in 1923 who installs an electric blower and a new console. Bernard Gavoty, appointed titular organist in 1942, was concerned with the reconstruction of the instrument by Beuchet-Debierre from 1955 to 1957. They came back in 1962 and in 1979 when they added two chamade stops.
The actual pipework is heterogeneous: about ten stops remain from the original organ, mainly principals in the Grand-Orgue and Positif; about fifteen stops from Gadault, mainly reeds and flutes in the Pedal; all the other stops are from Beuchet-Debierre.
Grand-Orgue |
Récit |
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Montre | 16' | Quintaton | 16' | |
Bourdon | 16' | Principal | 8' | |
Montre | 8' | Cor de nuit | 8' | |
Flûte harmonique | 8' | Viole de gambe | 8' | |
Diapason | 8' | Voix céleste | 8' | |
Grand nasard | 5 1/3' | Flûte | 8' | |
Flûte | 4' | Principal italien | 4' | |
Prestant | 4' | Flûte à fuseau | 4' | |
Grande tierce | 3 1/5' | Nasard | 2 2/3' | |
Doublette | 2' | Principal | 2' | |
Cornet | V | Cornet | V | |
Grande fourniture | III | Fourniture | IV | |
Fourniture | IV | Cymbale | IV | |
Bombarde | 16' | Bombarde | 16' | |
Trompette | 8' | Trompette | 8' | |
Clairon | 4' | Hautbois | 8' | |
Trompette (chamade) | 8' | Voix humaine | 8' | |
Clairon (chamade) | 4' | Clairon | 4' |
Positif |
Pédale |
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Montre | 8' | Soubasse | 32' | |
Bourdon à cheminée | 8' | Soubasse | 16' | |
Prestant | 4' | Flûte | 16' | |
Flûte à cheminée | 4' | Principal | 16' | |
Nasard | 2 2/3' | Bourdon | 8' | |
Flageolet | 2' | Flûte | 8' | |
Tierce | 1 3/5' | Principal | 8' | |
Fourniture | IV | Flûte | 4' | |
Cymbale | III | Principal | 4' | |
Trompette | 8' | Principal | 2' | |
Cromorne | 8' | Fourniture | IV | |
Chalumeau | 4' | Bombarde | 16' | |
Trompette | 8' | |||
Clairon | 4' | |||
Trompette (chamade) | 8' | |||
Clairon (chamade) | 4' |