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L'église unie Metropolitan est une grande église néo-gothique siruée au centre-ville de Toronto. Elle est l'une des plus grandes et plus importantes de l'Église unie du Canada.
Malgré le fait que, depuis 1805, la cathédrale anglicane St. James ait servi à toutes les dénominations protestantes de York (maintenant Toronto), les méthodistes, en 1818, désirent posséder leur propre chapelle. Pour réaliser cette ambition et acheter une propriété sur la rue King entre les rues Bay et Yonge, le révérend Henry Ryan hypothèque sa ferme située à Beamsville. Une chapelle en bois, mesurant 9,1 x 12,2 mètres (30 x 40 pieds), est par la suite construite. En 1831, la population de la ville augmente à 7 000 personnes et une plus grande église est requise afin de desservir une communauté de 264 fidèles. L'église épiscopale méthodiste Newgate, un édifice de style georgien pourvant accueillir 1 000 personne, est inaugurée en 1833 aur le coin sud-ouest des rues Toronto et Adelaide.
Dans les années 1860, Toronto devenait de plus en plus peuplée et de plus en plus commerciale. Les méthodistes possédaient une bonne partie de cette nouvelle richesse et certains de ses membres pouvaient se faire construire des maisons dans la partie nord de la rue Jarvis devenue de plus en plus huppée. C'est avec le support de plusieurs de ces familles qu'une nouvelle propriété est achetée. Elle est connue sous le nom de Carré McGill et est bordée par les rues Queen, Bond, Shuter et Church. Pendant un court laps de temps, cette acquisition suscita une dissidence populaire, car cette propriété, quoique privée, était utilisée en tant que parc public. Parmi les dissidents, on compte les paroissiens de la cathédrale catholique St. Michael qui, établis de l'autre côté de la rue désiraient conserver une vue non encombrée sur la côté sud de leur cathédrale.
Un comité chargé de la construction de la nouvelle église est mis sur pied et un concours est lancé. Toutefois, les entrées soumises sont retournées à leurs concepteurs, car elles sont toutes jugées trop dispendieuses pour la budget alors disponible. Le comité se tourne alors vers Henry Langley, qui avait déjà soumis un projet dans le cadre du concours, pour qu'il présente un nouveau projet. Celui-ci se remet immédiatement au travail et ce, même s'il est à compléter des ajouts à la Cathédrale St. Michael sise de l'autre côté de la rue.
Même si l'architecture traditionnelle des églises méthodistes est très influencée par les styles classiques, italiens et roman, plusieurs de celles-ci, dans les années 1860 et 1870, penchent vers le style gothique victorien. Au cours de la même période, la montée des méthodistes en tant que force politique et sociale était vue comme une menace aux puissants et nombreux anglicans (de la cathédrale St. James) et aux catholiques (à la cathédrale St. Michael). Cette intimidation s'est renforcée lorsque les méthodistes, jsuque là connus pour leur sévère austérité, construisent ce chef-d'oeuvre architectural dans le style gothique victorien. Fait intéressant, les clochers des trois églises historiques de Tronto ont tous été construits par Henry Langley, mais contrairement aux deux autres qui sont élancés, celui de l'église Metropolitan est massif, carré et couronné de quatre pinacles, le tout ressemblant à la forteresse d'un château.
De l'extérieur, la nouvelle église méthodiste Metropolitan Wesleyan ressemble à une cathédrale gothique française du XIVe siècle mesurant 66,5 mètres (218 pieds) de long par 31,7 mètres (104 pieds) de large avec une tour à pinacles à l'entrée principale, une longue nef et, à l'extrémité nord, un choeur. Toutefois, l'intérieur était tout différent puisque les méthodistes de réunissent dans un amphithéâtre entourée, sur trois côtés, de tribunes supportées par des piliers de fer. L'édifice pourvait accueillir 1 800 personnes mais la capacité pouvait être portée à 2 400 avec des sièges temporaires. Ce qui de l'extérieur ressemblait à un choeur était en fait une chapelle et servait de salle de réunion principalement lors des écoles du dimanche. La pierre angulaire a été posée par le révérend Egerton Ryerson en 1870 et l'église, décrite comme la "cathédrale du méthodisme", a été inaugurée en 1872. Le service d'inauguration de l'Église méthodiste du Canada a eu lieu dans cet édifice le 16 septembre 1874.
Pour célébrer le cinquantenaire de l'église, le premier carillon harmonisé, en Amérique du nord, composé de 23 cloches est installé dans la tour et il a été joué pour la première fois le 2 avril 1922. La tour et le carillon ont survécu à l'incendie de 1928. Douze cloches ont été ajoutées en 1960 et 19 autres en 1971 pour porter le total à 54. La plus grosse cloche pèse 3 836 kg (8 456 livres) et mesure 183 cm (72 pouces) de diamètre. Le carillon est joué chaque dimanche avant le service principal et lors d'évènements spéciaux. Il est joué à partir d'une console à clavier manuel et pédalier logé dans la tour à l'intérieur d'une cabine insonorisée sise juste au-dessous des cloches. La console originale de 1922 est conservée et est visible dans le vestibule de la tour.
L'Église unie du Canada a été formée en 1925 par la fusion des méthodistes et des congrégationnalistes ainsi que par les deux tiers des églises presbytériennes du Canada. L'église méthodiste Metropolitan Wesleyan est devenue l'église unie Metropolitan et fut le site du premier congrès général de l'Église unie.
Le 10 janvier 1928, un incendie a presque totalement détruit l'église. Au moment où il est éteint, on se rend compte que seuls la tour et son carillon, le narthex, la portion arrière de la tribune et les murs de briques épargnés. L'église est reconstruite avec l'aide de la famille Massey, propriétaire de la firme Massey-Ferguson, mais son architecture intérieure est grandement modifiée par l'architecte J. Gibb Morton. En effet, l'ancien intérieur reflétait, avec son amphithéâtre, les pratiques méthodistes de la fin du XIXe siècle alors que le nouvel intérieur s'inspire du style architectural des cathédrales des années 1920 avec un choeur, des claires-voies et des verrières. Ce qui auparavant aparaissait comme étant un choeur en est devenu réellement un avec des stalles et des chambres pour l'orgue. La façade de la table de communion, placée à l'extrémité du choeur, comprend une sculpture de la Dernière Cène d'après le tableau de Leonardo da Vinci. L'église est réouverte, sans orgue, le 15 décembre 1929 seulement quelques mois après le début de la période de la grande dépression.
L'orgue
L'église a possédé un orgue à deux claviers manuels construit par O'Dell lequel a été grandi, en 1875, en un instrument de trois claviers manuels et 3 315 tuyaux par S.R. Warren, créant ainsi le plus grand orgue de l'époque au Canada. Cet instrument a, par la suite, été déménagé à l'église unie Central, de Sault Sainte-Marie, ON.
En 1904, la firme Karn Organ Co. construit un nouvel instrument à la suite d'un don de Lillian Massey Treble en mémoire de son père, Hart A. Massey. En 1911, le facteur C.D. Warren agrandi l'instrument à 86 jeux et 93 rangs permettant ainsi à l'église de posséder encore le plus grand orgue au Canada. Les divisions du Great, Swell, Choir et Pedal sont logées à l'avant de l'église alors que les divisions Echo et Solo le sont à l'arrière de l'église. Malheureusement, cet instrument est disparu lors de l'incendie de 1928.
Après l'incendie, la communauté fait appel à Casavant Frères, of St. Hyacinthe, pour la construction d'uns instrument de cinq claviers manuels et 96 jeux qui sera utilisé pour la première fois, le jour de Pâques, le 20 avril 1930. Encore une fois, l'église peut se vanter de posséder le plus gros orgue du Canada. L'instrument est installé dans de grandes chambres des deux côtés du choeur et est placé derrière des écrans de chêne sculpté avec des motifs gothiques. Les divisions du Grest, Bombarde et Pedal sont du côté droit alors que les divisions Swell, Choir, et Orchestral sont du côté gauche. Le grand succès de cet instrument lors de son installation était dû à ses possibilités de reproduire un vaste évantail d'effets orchestraux et de permettre des crescendos et des diminuendos très rapides allant d'un « forte » extrême à une douceur quasi inaudible. Il fut un temps où l'utilisation de transcriptions de musique orchestrale était aussi normale que le répertoire pour orgue. La capacité de l'instrument à bien se prêter pour l'interprétation du repertoire pour orgue, qu'il soit français, allemand ou britannique, a permis de réduire, au milieu du XXe siècle, les ardeurs du mouvement de réforme de l'orgue pour que des modifications soient apportées à l'instrument. C'est ainsi que l'instrument est demeuré virtuellement inchangé depuis son installation et sa vaste et riche palette sonore en fait l'un des meilleurs instruments pour les récitals au pays. La console originale est encore en usage mais ses mécanismes ont été remplacés.
Des plans ont été élaborés en 1976, par Melville Cook, l'organiste du temps, pour qu'un nouveau grand orgue, utilisant une faible pression de vent, soit installé au fond du choeur. Ce plan visait à aider l'interprétation du répertoire classique et aussi se coulait une source sonore directe et un support au chant pour les personnes assises à l'arrière de l'église. Ces plans ne furent jamais réalisés.
Au cours des ans, l'instrument a été modernisé et restauré, mais la console originale a été conservée. En 1983, le système électro-pneumatique pour les combinaisons a été remplacé par un système électronique Corlis et, en 1986, les contacts et relais électro-pneumatiques pour les claviers et le pédalier ont été remplacés par un système électronique SSL. En 1990, la tuyauterie des jeux de fonds a été restauré et celle harmonisée au cône a reçu des bagues d'accord. En 1991, la tuyauterie des jeux d'anches a été nettoyée et restaurée.
La console originale prévoyait, dès sa conception, l'ajout d'une division d'Écho mais celle-ci ne fut pas installée lors du contrat original. En 1998, un orgue de huit jeux est ajouté. Cette division est un don de la part de Newcourt Credit Group pour honorer Ronald A. McKinlay, paroissien de long date et qui était, lors de sa retraite en 1997, le président du conseil d'administration de la firme. Les deux divisions manuelles sont flottantes et sont accessibles, de la console principale, aux claviers Great et Choir seulement. Installé de chaque côté de la grande verrière à la tribune arrière, cet orgue a procuré une amélioration immédiate au chant de la communauté à l'arrière de la longue nef, dépassant toute attente. Au même moment, le système de combinaisons Corlis est remplacé par un nouveau système Artisan Classic avec 200 niveaux de mémoire.
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Metropolitan United Church is a large neo-Gothic church in downtown Toronto. It is one of the largest and most prominent churches of the United Church of Canada.
Although St. James Anglican Cathedral had served all denominations in York (now Toronto) since 1805, by 1818 the Methodists felt a needs for a chapel of their own. To that end, the Rev. Henry Ryan took out a mortgage on his farm located near Beamsville in order to purchase a property on King Street between Bay and Yonge Streets. A clapboard church measuring 30 x 40 feet (9,1 x 12.2 meters) was built. By 1831, the population of the community had increased to 7,000 and a larger church was required to serve a congregation of 264. The two-storied Newgate Methodist Episcopal Church, a Georgian-style building was opened in 1833, to accommodate 1,000 people on the southeast corner of Toronto and Adelaide Streets.
In the 1860s, Toronto was becoming increasingly commercial and populated. Methodists had their own fair share of this new wealth and a number had been able to build homes in the upper Jarvis Street area which had become fashionable. It was with the support of many of these families that a new property, bounded by Queen, Bond, Shuter and Church Streets, then known as McGill Square, was purchased. For a short while there was some public dissent around this sale, because although the land was privately held it had been in use as a public square. Parishioners of St. Michael's Roman Catholic Cathedral for one, had always assumed that the Square would permit them to maintain an unencumbered view of the south elevation of their Cathedral.
Although a committee in charge of building the new church had launched a compettion for an appropriate design, the submissions were returned to their owners because they were too expensive for the available budget. The Committee then turned directly to Henry Langley, who had submitted a competition entry, for a new design and he promptly began work work on the site. At the time that he was retained by Metropolitan Methodist Church, he was just completing additions to St. Michael's Cathedral across the street.
Even though Methodist churches tended to be more influences by Classical, Italianate and Romanesque influences, in the 1860s and 1870s, many of them as long as other Protestant churches leaned toward High Victorian Gothic. During the same period, the rise of the Methodists as a political and social force was seen as a threat to the larger and more powerful Anglicans (at Cathedral Church of St. James) and the Catholics (at St. Michael's Cathedral). This intimidation was reinforced when the Methodists, otherwise known for their stark austerity, built this masterpiece of High Victorian Gothic architecture. It is especially interesting at all three of Toronto's great historic churches have spires built by Henry Langley, but unlike the other two slender steeples, the Metropolitan's is bold, square and topped off with four pinnacles, giving the impression of a castle fortress.
From the exterior, the new church, the Metropolitan Wesleyan Methodist Church, resembles a 14th century French Gothic cathedral. It measures 218 feet (66.5 meters) long and 104 feet (31.7 meters) wide with a pinnacled tower at the main entrance, a long nave and a chancel at the north end. Inside, it was quite a different matter since Methodists worshipped in an auditorium surrounded on three sides by a balcony supported on cast-iron columns. The seating capacity of the room was 1,800 which could be increased to 2,400 with temporary seating. What appeared to be a chancel on the exterior was known as the chapel and functioned as a meeting room, primarily for the assembly of the Sunday School. The cornerstone was laid by the Rev. Egerton Ryerson, in 1870 and the church, described as Canada's "cathedral of Methodism", was dedicated in 1872. The inaugural service of the Methodist Church of Canada was held here on September 16, 1874.
To celebrate the church's 50th anniversary, the first harmonically tuned carillon in North America of 23 bells was installed in the tower and first played on April 2nd, 1922. The tower and carillon survived the 1928 fire. In 1960, 12 bells were added and 19 other bells in 1971 to bring the total to 54. The largest bell weighs 8,456 pounds (3,836 kg) and is 72 inches (183 cm) in diameter. The carillon is played before each Sunday service and before many special events. It is played from a key and pedal console housed in the tower in an insulated cabin just below the bells. The original key and pedal console from 1922 is preserved and is on display in the tower vestibule.
The United Church of Canada was formed in 1925 by the union of Methodist and Congregational and two-thirds of the Presbyterian churches in Canada. Metropolitan Wesleyan Methodist became Metropolitan United and was chosen as the site of the first General Council of the United Church.
On January 10th, 1928, a fire came close to destroying the whole church. By the time the time had been extinguished, the tower with its carillon, the narthex, the rear portion of the balcony, and the brick wall were all that could be saved. The church is reconstructed with the help of the Methodist Massey family, of Massey-Ferguson fame, but with significant changes to its interior architecture by J. Gibb Morton. However, unlike the previous interior that reflected the auditorium-oriented worship practices of Methodism of the late 19th century, the church was rebuilt in the much favored cathedral architectural style of the 1920’s with a chancel, clerestory and stained glass windows. What had previously appeared to be a chancel now actually became one, complete with a divided choir and organ chambers. The front of a new communion table, placed at the far end of the chancel, included a carving of the Last Supper after the painting by Leonardo da Vinci. The church reopened, without an organ, on December 15, 1929, only a couple of months following the onset of the Great Depression.
The Organ
This building contained a two-manual organ by O’Dell that was rebuilt and enlarged into a three-manual instrument with 3,315 pipes by S. R. Warren in 1875, making it the largest organ in the Dominion of Canada at the time. The instrument was later moved to Central United Church, Sault Ste. Marie, ON.
In 1904, the Karn Organ Company built a new instrument given by Lillian Massey Treble in memory of her father, Hart A. Massey. In 1911, C. D. Warren enlarged this organ to 86 stops, 93 ranks, once again giving the church the distinction of having the largest organ in Canada. It had Great, Swell, Choir and Pedal divisions at the front of the church and Tower Echo and Solo divisions at the back. Unfortunately, this instrument disappeared in the 1928 fire.
After the fire, the congregation contracted with Casavant Frères, of St. Hyacinthe, to build a five-manual 96-stop organ that was first used on Easter Sunday, April 20th, 1930. Once again the church could claim having the largest organ in Canada. The instrument is located in large chambers on both sides of the chancel and screened by elaborately carved oak woodwork with Gothic motifs. The Great, Bombarde and Pedal divisions are on the right side with the Swell, Choir and Orchestral divisions on the left. The great success of the organ at the time of its installation lay in its ability to cover a wide range of orchestral effects and to produce rapid crescendos and diminuendos from the extremely loud to the almost inaudible. Transcriptions of orchestral music were used as much as music for organ. Yet the organ could interpret most organ repertoire - French, German and English - which meant that it survived the pressures for change from the Organ Reformers of the mid-20th century. The instrument remains virtually unchanged since its installation and its vast and rich tonal palette places it among the finest recital instruments in the country. The original console is still in use but its mechanisms have been replaced.
Plans were drafted in 1976, by Melville Cook, the organist of the time, to build a new, low-pressure Great Organ at the head of the chancel. This was intended to help in the performance of classical organ music but also to give those seated toward the rear of the church some direct sound for listening and support for singing. These plans were never realized.
The instrument has been updated and restored over the years, but the original console has been retained. In 1983, remote, electro-pneumatic combination system is replaced with a Corlis solid-state system and, in 1986, the remote, electro-pneumatic manual and pedal key contact relays and switches are replaced with SSL system. In 1990, the flue pipework is restored and coned pipework is sleeved. In 1991, the reed pipework is cleaned and restored.
The original console included preparation for an Echo division that was not installed as a part of the original contract. In 1998, an eight-stop Gallery Organ is added. This division is a gift from the Newcourt Credit Group to honor longtime Metropolitan member Ronald A. McKinlay at the time of his retirement in 1997 as the company’s chairman. The two manual divisions are floating and playable, from the main console, only from the Great and Choir manuals. Mounted on either side of a large stained glass window on the rear wall of the gallery, this organ provided immediate improvement in the congregational singing at the back of the long nave, surpassing expectations. At the same time, the Corlis combination action is replaced with a new 200-level memory Artisan Classic system.
I. Great |
II. Swell |
|||
---|---|---|---|---|
1Contra Bourdon | 32' | Contra Geigen | 16' | |
Double Open Diapason | 16' | Lieblich Bourdon | 16' | |
Bourdon | 16' | Open Diapason | 8' | |
Open Diapason I | 8' | Geigen Principal | 8' | |
Open Diapason II | 8' | Lieblich Gedeckt | 8' | |
Open Diapason III | 8' | Viola di Gamba | 8' | |
Violin Diapason | 8' | Salicional | 8' | |
Hohl Flute | 8' | Voix céleste | 8' | |
Doppel Flute | 8' | Aeoline | 8' | |
Stopped Diapason | 8' | Octave | 4' | |
Quint | 5 1/3' | Flauto Traverso | 4' | |
Octave | 4' | Superoctave | 2' | |
Principal | 4' | 4Mixture 2 2/3' | III | |
Flûte harmonique | 4' | 5Cornet 8' | V | |
Flûte d'amour | 4' | Double Trumpet | 16' | |
Twelfth | 2 2/3' | Trumpet | 8' | |
Fifteenth | 2' | Oboe | 8' | |
2Mixture 2 2/3' | III | Vox humana | 8' | |
3Harmonics 2' | V | Clarion | 4' | |
Contra Tromba | 16' | Harp (CH) | ||
Tromba | 8' | Tremulant | ||
Posaune | 8' | |||
Octave Tromba | 4' | |||
Harp (CH) |
III. Choir |
IV. Orchestral |
|||
---|---|---|---|---|
Contra Viola | 16' | Contra Gamba | 16' | |
Open Diapason | 8' | Gross Gamba | 8' | |
Gamba | 8' | Gamba céleste | 8' | |
Melodia | 8' | Rohr Flute | 8' | |
Quintadena | 8' | Gross Flute | 8' | |
Spitz Flute | 8' | Viole d'orchestre | 8' | |
Flûte céleste | 8' | Viole céleste 8' | II | |
Dulciana | 8' | Fugara | 4' | |
Unda maris | 8' | Concert Flute | 4' | |
Dulcet | 4' | 7Concert de violes 3 1/5' | III | |
Basson | 16' | Bassoon | 16' | |
Nazard | 2 2/3' | French Horn | 8' | |
Harmonic Piccolo | 2' | Orchestral Oboe | 8' | |
Tierce | 1 3/5' | Cor anglais | 8' | |
6Dulciana Mixture 2 2/3' | IV | Corno di Bassetto | 8' | |
Contra Fagotto | 16' | Trombone | 16' | |
Clarinet | 8' | Orchestral Trumpet | 8' | |
Trumpet | 8' | Tuba Sonora | 8' | |
Clarion | 4' | Octave Tuba | 4' | |
Harp | Harp (CH) | |||
Harp Sub | Tremulant | |||
Tremulant |
V. Bombarde |
Pedal |
|||
---|---|---|---|---|
Stentorphone | 8' | Double Open Diapason | 32' | |
8Mixture 8' | VII | Open Diapason I | 16' | |
Tuba magna | 16' | Open Diapason II (ext) | 16 | |
Tuba mirabilis | 8' | Violone | 16' | |
Quint Horn | 5 1/3' | Gamba (ORCH) | 16' | |
Tuba Clarion | 4' | Bourdon I | 16' | |
Bourdon II (GT) | 16' | |||
Viola (CH) | 16' | |||
Gedeckt (SW) | 16' | |||
Quinte | 10 2/3' | |||
Octave (ext) | 8' | |||
Cello (ext) | 8' | |||
Stopped Flute (ext) | 8' | |||
Still Gedeckt (SW) | 8' | |||
Octave Quint (ext) | 5 1/3' | |||
Superoctave (ext) | 4' | |||
9Mixture 2' | IV | |||
Contre Bombarde | 32' | |||
Bombarde (ext) | 16' | |||
Trombone (ORCH) | 16' | |||
Bassoon (ORCH) | 16' | |||
Tromba (ext) | 8' | |||
Clarion (ext) | 4' |
I. Antiphonal |
II. Echo |
|||
---|---|---|---|---|
Open Diapason | 8' | Chimney Flute | 8' | |
Principal | 4' | Viola di Gamba | 8' | |
Hooded Trumpet | 8' | Flute | 4' | |
Tremulant | ||||
Zimbelstern |
Pedal |
|
---|---|
Bourdon (ext) | 16' |
Octavebass (ext) | 8' |
1 | À partir de / From c | |
2 | 2 2/3', 2', 1 3/5' | |
3 | 2', 1 3/5', 1 1/3', 1 1/7', 1' | |
4 | 2 2/3', 2', 1 1/3' | |
5 | 8', 4', 2 2/3', 2', 1 3/5' | |
6 | 2 2/3', 1 3/5', 1 1/3', 1' | |
7 | 3 1/5', 2 2/3', 2' | |
8 | 8', 4', 2 2/3', 2', 1 3/5, 1 1/3', 1 1/7', 1/2' | |
9 | 2', 1 3/5', 1 1/3', 1' |