Description [Français / English] |
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La paroisse de Saint Louis, roi de France, dans la ville de St. Paul, au Minnesota, est fondée en 1868 par des émigrants français et canadiens-français. La première église est un édifice de bois construit sur le coin nord-est de l'emplacement de l'église actuelle. Elle est bénite le 29 décembre 1868 par Mgr Thomas Langdon Grace, O.P. (1814-1897), évêque (1859-1884) de St. Paul. Selon les archives de la paroisse, la première cloche est un don du capitaine Louis Robert (1811-1874), un homme d'affaires local.
En 1881, l'acroissement du nombre de paroissiens incite la paroisse à déménager dans des locaux plus vastes. La paroisse achète et déménage dans l'ancienne église de la communauté des universalistes, sise un coin de rue plus loin. En 1885, Mgr John Ireland (1838-1918), évêque (1884-1888) de St. Paul, confie la direction de la paroisse aux Pères Maristes (Society of Mary).
Au début des années 1900, le nombre toujours croissant de paroissiens amène la paroisse à décider de construire une église encore plus vaste. Cette fois, la paroisse fait appel à Emmanuel-Louis Masqueray (1861-1917), l'un des architectes français les plus en vue de son temps, afin qu'il puisse créer un édifice qui soit réellement spécial. Quoique cette église de paroisse soit considérablement plus petite que certaines de ses autres réalisations, entre autres la cathédrale Saint-Paul à St. Paul et la basilique St. Mary à Minneapolis, Masqueray a toujours eu une préférence pour cet édifice de style roman, en brique et grès, qu'il nommait affectueusement sa "petite perle".
En 1906, la paroisse vend son église et déménage, l'année suivante, sur son ancien site dans une toute nouvelle église, qui peut accommoder 300 personnes, laquelle est bénite, le 19 décembre 1909, par Mgr Ireland, devenu archevêque (1888-1918) de St. Paul.
En 1934, une tornade frappe un des lochers l'endommageant considérablement. Le 1er janvier 1957, un incendie criminel dans le clocher nord endommage l'orgue, des supports ornementaux et des bancs dans la tribune arrière.
Au cours des ans, l'église s'est enrichi d'autels de marbre ainsi que des vitraux conçus par les Studios Reinarts Stained Glass, de Winona. Elle a nécessité des réparations majeures incluant un nouveau toit, le jointoiement de la brique extérieure ainsi que la restauration des verrières. Trois nouvelles cloches de bronze provenant de la Fonderie de Cloches Paccard d'Annecy (France) ainsi qu'une chaire de marbre blanc ont été ajoutées à l'église dont l'intérieur a été rénové et repeint. Tous ces travaux ont précédé l'arrivée du nouvel orgue au début de 1998.
Le Père Paul F. Morrisey, arrivé dans la paroisse en 1985 et devenu le curé en 1988, a mis en place une tradition d'excellence au niveau de la musique et des arts, ce qui inclut un chœur semi-professionnel de 30 membres qui chante aux messes des dimanches et fêtes, en plus d'une série publique de musique, Musique de Saint Louis, inaugurée en 1990. La paroisse comprend environ 700 familles, ce qui représente un summum, le double de ce qu'elle était il y a une décennie.
La fierté que ressentent aujourd'hui les paroissiens, amis et voisins de cette petite église française est enracinée dans la tradition. Chaque génération a mis en valeur et préservé pour la suivante une église qui a su demeurer inébranlable à travers tous les changements qui survinrent autour d'elle. Il y eut une fidélité indéniable pour maintenir une place de solennité, de beauté, et de sérénité afin que les gens, de près et de loin, s'y rendre chaque jour pour prier.
L'orgue
Dès le début du processus d'acquisition d'un nouvel orgue, le Père Morissey indique clairement le concept qu'il a dans son esprit. En plus de la sonorité de l'instrument, la présence visuelle doit être réellement impressionnante: « Nous voulons que ce que verront les gens soit aussi beau que ce qu'ils entendront ». Cette vision attire l'attention d'une paroissienne, Helene Houle, qui décide d'allouer des fonds pour ce magnifique instrument en signe d'amour et de respect pour ses parents, Laura L’Allier et Raymond Houle, comme hommage permanent à leur mémoire.
En faisant appel à Casavant Frères, l'église a non seulement reconnu et confirmé la connaissance et l'affection de ce facteur pour l'orgue de tradition française, elle a aussi reconnu son habileté à concevoir et construire un instrument où le savoir-faire et le sens artistique seraient hautement représentés et qui soient dignes du chef-d'œuvre architectural de Masqueray.
Pour Casavant, il eut été tentant de copier un orgue historique quelconque et son buffet pour une aussi belle église, mais ce ne fut même pas considéré. Tout au contraire, une telle perle ne méritait rien de moins que le meilleur orgue, tant au niveau visuel que sonore. Comme l'église possède des racines françaises, c'était l'occasion idéale pour construire un orgue d'esthétique française.
Vu les dimensions de l'église, l'orgue n'avait pas besoin d'être très puissant, mais il se devait d'être assez flexible vu que le programme de musique était vaste et exigeant. Le devis, basé sur des principes longuement éprouvés et adapté aux besoins musicaux de la paroisse, est élaboré pour être incorporé dans le buffet dont l'apparence visuelle est sensationnelle de sorte que ceux qui seront frappés par sa beauté voudront entendre l'instrument.
L'instrument
La tribune n'étant pas très large, de l'espace a dû être réservé pour la chorale en plus du buffet de l'orgue. Quant à la profondeur de celle-ci, elle n'a pas permis de fournir, à la division du Récit, le nombre de jeux que l'on y retrouve habituellement de sorte que la division du Chœur, placée derrière la chorale dans la partie inférieure du buffet, peut être aussi qualifiée comme étant un complément au Récit. La console détachée permet une communication facile avec la chorale et une flexibilité d'accompagnement est obtenue par le fait que le Grand-Orgue, le Récit, et le Chœur soient tous expressifs.
La taille moyenne de l'instrument et des pressions de vent assez basses permettent la conception d'un orgue à traction mécanique facilement maniable. Le Grand-Orgue, qui est expressif pour des questions de flexibilité, et le Positif de dos sont d'orientation classique alors que le Récit et le Chœur contiennent des caractéristiques symphoniques tant au niveau du devis qu'au niveau de la sonorité.
Beaucoup d'attention a été apportée afin d'éviter que l'orgue ne soit trop fort, et ce, principalement au niveau des anches, tout en leur conservant une certaine. Pour les anches du Récit, des canaux d'un type spécial - parallèles avec des revêtements en forme de larme - ont été utilisés combinant ainsi les meilleures caractéristiques des deux genres.
Il existait un désir évident pour y incorporer la voix colorée d'un jeu d'anches en chamade lequel, harmonisé sur une pression de vent relativement basse, ne viendrait pas dominer le reste de l'orgue. La Trompette Saint-Michel fournit à l'organiste une voix parfaite pour jouer un cantus firmus contre le plenum manuel et être le couronnement final du plein jeu de l'orgue.
La division du Chœur se situe au niveau du plancher de la tribune dans la partie inférieure du buffet. Il s'agit d'abord d'une division d'accompagnement, mais qui peut aussi être utilisée à la façon d'une division traditionnelle d'Écho dans l'orgue classique français. En mettant la touche finale à l'orgue, le facteur s'est rappelé les commentaires de Maurice Durufé (1902-1986) et d'André Fleury (1903-1995) concernant l'orgue de César Franck (1822-1890) à Sainte-Clothilde. Les deux ont connu l'orgue avant qu'il ne fût modifié, en 1933, à la demande de Charles Tournemire (1870-1939), puis électrifié en 1962. Ils soutenaient que le Récit de Franck possédait un son qui paraissait un peu lointain et très poétique et que ses anches étaient plutôt douces. Ceci pourrait expliquer quelques-unes des registrations de Franck. Il sera donc possible de reproduire cet effet sur l'orgue de St. Louis et ce, grâce au merveilleux effet de Fenwerk de la division du Chœur.
Le buffet
Le buffet est fait de chêne et fini pour s'harmoniser aux couleurs de bois que l'on retrouve dans l'église. La console de style terrasse à la Cavaillé-Coll est détachée du buffet principal et est placée immédiatement derrière le Positif de dos. Elle incorpore la croix de saint Louis sur ses panneaux de côté et de dos. La base du buffet principal inclut des panneaux cintrés qui sont en harmonie avec le style roman retrouvé dans les fenêtres et les arches le long des allées de la nef. Le symbolisme peut être retrouvé dans plusieurs détails du buffet. Par exemple, la face de l'horloge sous la tour centrale du Positif de dos symbolise les douze apôtres pour illustrer les heures. Un fait intéressant, et en reconnaissance de plusieurs affinités françaises tant au niveau de l'église que du facteur, la tour centrale du buffet principal contient les mots Inspiration-Improvisation, des attributs importants dans l'art de toucher l'orgue. Ces mots sont aussi sculptés sur le buffet de l'orgue Casavant de 1927 de la basilique-cathédrale Notre-Dame à Québec.
Des éléments sculptés et rehaussés à la feuille d'or de 24 carats, sur le buffet, on dénote plusieurs fleurs de lys ainsi que des bandes de feuilles et de glands de chêne au-dessus et au-dessous des deux buffets. Les feuilles et les glands de chêne nous rappellent la justice du roi Louis qui se tenait sous les chênes parisiens et où tous ses sujets pouvaient le rencontrer. Les grandes tours du buffet principal sont couronnées de cinq écussons, de gauche à droite: l'écusson de la Société de Marie (en reconnaissance aux Pères Maristes qui ont la responsabilité de la paroisse depuis 1885); l'écusson de la famille L'Allier (en honneur de la mère de la donatrice) chapeauté par un coq; l'étoile dorée des Clochettes, rappelant Jésus-Christ, l'astre du matin, avec le motto, Inspiration-Improvisation; l'écusson de la famille Houle (en honneur du père de la donatrice) chapeauté par trois fleurs de lys; et l'écusson de la paroisse, chapeauté par la couronne de saint Louis. La statue placée sur le dessus du buffet du Positif de dos représente saint Maron, le fondateur du rite maronite (libanais) de l'Église catholique (en l'honneur de John Nasseff, époux - de nationalité libanaise et membre de l'Église maronite - de la donatrice). La trompette en chamade, faite de cuivre poli, est nommée en honneur de saint Michel l'Archange et de Michel Lallier (1370-1440) qui fut maire de la ville de Paris.
La bénédiction solennelle de l'orgue a eu lieu la veille du dimanche des Rameaux, le 4 avril 1998.
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The parish of St. Louis, King of France, in St. Paul, MN., was established in 1868, by French and French-Canadian settlers. The first church was a frame structure erected on the northwest corner from the actual church. It was blessed on December 29, 1868, by Thomas Langdon Grace, O.P. (1814-1897), bishop (1859-1884) of St. Paul. According to parish archives, the first bell was a donation from Captain Louis Robert (1811-1874), a local businessman.
In 1881, as the number of parishioners increased, the parish looked for larger quarters. The parish purchased and moved into the former Universalist Church located a few blocks away. In 1885, John Ireland (1838-1918), bishop (1884-1888) of St. Paul, entrusted the parish to the Marists Fathers (Society of Mary).
Early in the 1900s, as the number of parishioners kept increasing, the parish decided to build a larger church. This time, they called upon Emmanuel-Louis Masqueray (1861-1917), one of the leading French architects of the time, to create a truly special building. Although this parish church was considerably smaller than some of his other commissions, including the St. Paul Cathedral in St. Paul and the Basilica of St. Mary in Minneapolis, Masqueray considered this building to have special meaning, often referring to it as his "little gem".
In 1906, the parish sold its church and returned, the following year, to its former location and into a new church which could accommodate 300 people and which was blessed on December 19, 1909, by now Archbishop (1888-1918) Ireland.
In 1934, a tornado hit and considerably damaged one of the bell towers. On January 1, 1957, an arson in the north bell tower damaged the organ along with ornamental supports and pews in the rear gallery.
Over the years, the church was enhanced with marble altars and with stained glass windows designed by the Reinarts Stained Glass Studios, of Winona. It was in need of important repairs, which included a new roof, tuck-pointing the brick exterior, and restoration of the stained glass windows. Three new bronze bells from the Paccard Bell Foundry of Annecy (France), and a white marble pulpit have been added to the church whose interior has been refurbished and repainted. All of this work preceded the arrival of the new organ in early 1998.
Father Paul F. Morrissey, who came to the parish in 1985 and appointed as pastor in 1988, established a tradition of excellence in music and the arts that includes a 30-member semi-professional choir, which sings at Sunday Masses and on feast days, plus a public music series, "Musique de Saint Louis", inaugurated in 1990. The church's membership of about 700 families is at an all-time high, double what it was a decade ago. Father Morrissey often indicates that much of the credit of this change should go to the church's emphasis on fine music.
The pride that the parishioners, friends, and neighbors of the Little French Church feel today is rooted in tradition. Each generation has enhanced and preserved for the next one a church that would remain steadfast through all the changes occurring around it. There has been an underlying fidelity to maintaining a place of solemnity, beauty, and serenity to which people, from near and far, would come in to worship every day.
The Organ
Early in the process of acquiring a new organ, Father Morrisey clearly indicated the concept he had in mind. In addition to the sound of the instrument, the visual design should be truly stunning: « We want what people see to be as meaningful as what they hear ». This vision caught the attention of parishioner Helene Houle, who decided to donate funds for this beautiful instrument, as a lasting tribute to the memory of her parents, Laura L'Allier and Raymond Houle.
In selecting Casavant Frères, the church not only acknowledged and affirmed Casavant's knowledge and affection for the French organ tradition, but also recognized its ability to design and build an instrument exhibiting extraordinary craftsmanship and artistry that should be appropriate for Masqueray's architectural masterpiece.
While it would have been tempting, for Casavant, to copy some historical organ and its casework for such a beautiful church, this was never a consideration. Instead, such a gem deserved nothing but the finest organ, both visually and tonally.
Given the capacity of the church, the organ did not need to be large, but it had to be quite flexible, as the music program was broad and demanding. The stop list, based upon time-tested principles and suited to the musical needs of the parish, was designed to fit into a casework whose stunning visual appearance would entice those who see its beauty to want to hear the instrument.
The Instrument
The gallery not being very large, space had to be provided for choristers in addition to the organ casework. The gallery depth did not allow the Récit division to contain its usual number of stops, so the Chœur division, which is behind the choristers in the lower part of the casework, can also be viewed as a complement to the Récit. The detached console permits easy communication with the choir, and further accompaniment flexibility is provided by the fact that the Grand-Orgue, Récit, and Chœur divisions are all enclosed.
The moderate size of the instrument and its rather low wind pressures enabled the design of an easily manageable mechanical action organ. The Grand-Orgue, which is enclosed for flexibility, and the Positif de dos are classically oriented, whereas the Récit and Chœur display more symphonic features both in specification and in voicing.
Great care was taken to avoid too loud an organ, especially as far as reeds are concerned, while at the same time keeping their sounding energy. For the Récit reeds, a special kind of shallot - parallel with teardrop overlay - was designed combining the best characteristics of both types.
There was an obvious desire for the colorful voice of a reed stop en chamade, which, being voiced on a relatively low wind pressure, would not overwhelm the rest of the organ. The Trompette Saint-Michel provides the organist with a perfect voice to play a cantus firmus against the manual plenum and be the crowning glory of full organ.
The Chœur division stands on the floor level of the gallery in the substructure of the organcase. It is primarily an accompanimental division but it can be used as a traditional Écho division of the French Classic organ. While completing the organ, comments from Maurice Duruflé (1902-1986) and from André Fleury (1903-1995) came to mind concerning César Franck's (1822-1890) organ in Sainte-Clothilde. Both had known that organ before it was modified, in 1933, at Charles Tournemire's (1870-1939) request, then electrified in 1962. They remembered that Franck's Récit sounded quite remote and very poetical, and that its reeds were rather soft. This explains some of Franck's registrations. It will then be possible to recreate that effect on the St. Louis organ, thanks to the wonderful Fenwerk effect of the Chœur.
The Organcase
The casework is constructed of oak and finished to match the color of the wood found in the church. The Cavaillé-Coll-style terraced drawknob console, which is detached from the main casework and located immediately behind the Positif de dos, has paneling incorporating the Cross of St. Louis on its side and back panels. The base of the main casework includes arched panels reminding the Romanesque design found in the windows and arches along the side aisles of the nave. Symbolism may be found in many details of the casework. For example, the clock face below the center tower of the Positif de dos symbols the twelve Apostles to show the hours. Of particular note, and in recognition of numerous French connections of both the church and its designer, the central tower of the main case contains the words, "Inspiration-Improvisation", important attributes in the art of organ playing. These same words are found carved on the casework of the 1927 Casavant organ in the Notre-Dame Basilica-Cathedral in Québec City.
Carved elements on the casework, enhanced with 24-karat gold leaves, include numerous fleurs de lys, plus bands of oak leaves and acorns above and below the towers of both cases. The oak leaves and acorns remind us of King Louis's justice meted out beneath the Parisian oaks, where all subjects had access to him. The large towers of the main casework are crowned with five crests, from left to right: the crest of the Society of Mary (to honor the Marist Fathers who have served the parish since 1885); the crest of the L'Allier family (to honor the donor's mother) topped by a rooster; the gilded star of the Clochettes, redolent of Jesus Christ, the morning star, with the motto, "Inspiration-Improvisation"; the crest of the Houle family (to honor the donor's father) topped by three fleurs de lys; and the parish crest topped by the crown of St. Louis. The statue on the top of the Positif the dos casework is of St. Maron, the founder of the Maronite Rite (Lebanon) of the Catholic Church (to honor the donor's husband, John Nasseff, who was from Lebanese descent and a member of the Maronite church). The polished copper trompette-en-chamade is named to honor St. Michael the Archangel and Michel Lallier (1370-1440), who was a mayor of the City of Paris.
The solemn blessing of the organ took place on the eve of Psalm Sunday, April 4, 1998.
II. Grand-Orgue |
III. Récit |
|||
---|---|---|---|---|
Montre | 16' | Principal | 8' | |
Bourdon | 16' | Viole de gambe | 8' | |
Montre | 8' | 3Voix céleste | 8' | |
Flûte à cheminée | 8' | Cor de nuit | 8' | |
5Flûte harmonique | 8' | Octave | 4' | |
Prestant | 4' | Octavin | 2' | |
Flûte | 4' | Plein jeu 2' | III-IV | |
Doublette | 2' | 4Basson | 16' | |
Cornet 2 2/3' | III | Trompette | 8' | |
Fourniture 1 1/3' | IV | Clairon | 4' | |
Trompette | 8' | Tremblant | ||
Tremblant | Cloches (25) | |||
2Bombarde Saint-Michel | 16' | Rossignol | ||
Trompette Saint-Michel | 8' | |||
Clochettes (10) |
I. Positif de dos |
Choeur |
|||
---|---|---|---|---|
Bourdon | 8' | Bourdon | 8' | |
Montre | 4' | Salicional | 8' | |
Flûte à fuseau | 4' | 2Unda maris | 8' | |
Nasard | 2 2/3' | Flûte douce | 8' | |
Quarte de nazard | 2' | 2Flûte céleste | 8' | |
Tierce | 1 3/5' | Fugara | 4' | |
Larigot | 1 1/3' | Flûte à cheminée | 4' | |
Cymbale 1' | III | Cor de chamois | 2' | |
Cromorne | 8' | Quintelette | 1 1/3' | |
Tremblant | Hautbois | 8' | ||
Bombarde Saint-Michel (GO) | 16' | Clarinette | 8' | |
Trompette Saint-Michel (GO) | 8' | Voix humaine | 8' | |
Tremblant | ||||
Cloches (Récit) |
Pédale |
|
---|---|
1Contrebasse | 32' |
1Soubasse | 32' |
Montre (GO) | 16' |
Soubasse | 16' |
Bourdon (GO) | 16' |
Octavebasse | 8' |
Flûte bouchée (ext) | 8' |
Octave | 4' |
1Contre bombarde | 32' |
Bombarde | 16' |
Basson (Récit) | 16' |
Trompette (ext) | 8' |
Trompette Saint-Michel (GO) | 8' |
Clairon (ext) | 4' |
1 | électronique / digital | |
2 | à partir du deuxième DO / from tenor C | |
3 | à partir du SOL / from G | |
4 | 1-12 demi-longueur / 1-12 half-length | |
5 | 1-12 commun avec Flûte à cheminée / 1-12 common with Flûte à cheminée |