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Casavant, Opus 2747, 1964
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Saint-Pascal est une ville située dans la municipalité régionale de comté de Kamouraska dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent. Elle est nommée en l'honneur du seigneur de Kamouraska Paschal-Jacques Taché (1757-1830), notaire et lieutenant-colonel de milice.
Historique
La seigneurie de Kamouraska est concédée le 15 juillet 1674 par Louis de Buade, comte de Frontenac (1622-1698), gouverneur (1672-1682 et 1689-1898) de la Nouvelle-France, à Olivier Morel de La Durantaye (1640-1716). Le territoire est situé de part et d'autre de la rivière Kamouraska sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent.
Le 5 novembre 1680, la seigneurie est achetée par Charles Aubert de la Chesnaye (1632-1702) qui la lègue, le 18 octobre 1700, à son fils, Louis Aubert du Forillon (1678-1720). Après avoir passé entre plusieurs mains, elle est achetée le 22 janvier 1790 par Paschal-Jacques Taché (1757-1830) qui a, comme deuxième épouse, Marie-Louise Decharnay (1755-1813) alors héritière de la moitié de la seigneurie. Le 24 février 1806, Louis-Paschal-Achille (1813-1839), fils de Paschal-Jacques, acquiert la part de Marie-Louise Decharnay et devient coseigneur. À la mort de son père, le 5 juin 1830, il assume seul la propriété de la seigneurie. Le régime seigneurial est aboli le 18 décembre 1854 alors que la seigneurie appartient à Louis-Philippe Chalout (1799-1866).
Une municipalité est créée le 1er juillet 1845, puis dissoute le 1er septembre 1847 avant d'être érigée de nouveau le 1er juillet 1855 en tant municipalité de paroisse. En 1916, elle est renommée Saint-Paschal-de-Kamouraska. En 1939, une municipalité du village est créée par détachement de celle de la paroisse. En 1957, la municipalité de paroisse devient la municipalité de Saint-Pascal. En 1966, la municipalité de village devient la ville de Saint-Pascal. En 2000, la municipalité de paroisse et la ville sont fusionnées pour former la nouvelle ville de Saint-Pascal.
La paroisse
Une mission, dédiée à saint Louis en l'honneur de Louis-Joseph Morel de la Durantaye, premier seigneur de Kamouraska, est établie en 1667 et desservie par le curé de la paroisse de Riviêre-Ouelle, plus à l'ouest. En 1709, un premier prêtre est affecté à la mission et une première chapelle de bois est alors construite. La mission de Saint-Louis-de-Kamouraska est canoniquement érigée en paroisse le 13 octobre 1714 par Mgr Jean-Baptiste de la Croix Chevrières de Saint-Valier, évêque (1688-1727) de Québec. Le curé, en plus de sa paroisse, doit desservir les colons jusqu'à Rimouski, situé à environ 160 km (100 miles) plus loin. La construction d'une seconde église débute en 1727 et est utilisée jusqu'en 1793 année où l'église actuelle est érigée.
Comme l'intérieur des terres se peuple et qu'une partie des habitants se trouve désormais assez éloignée de l'église, une deuxième paroisse est érigée pour desservir la partie sud du territoire de la seigneurie. Mgr Bernard-Claude Panet (1753-1833), archevêque (1825-1833) de Québec, érige canoniquement, le 8 juin 1827, la paroisse qui est placée sous le patronage de saint Pascal Baylon par détachement de la paroisse de Saint-Louis-de-Kamouraska. Son nom honore Paschal-Jacques Taché, seigneur de Kamouraska.
L'église
Peu de temps après l'érection de la paroisse, le seigneur Taché offre un terrain pour y ériger une chapelle et y aménager un cimetière. Le 29 décembre 1828, l'abbé Jacques Varin, curé de Saint-Louis-de-Kamouraska, bénit le terrain et, le lendemain, il bénit une cloche pesant 141,5 kg (312 lbs) offerte par Pierre Casgrain, seigneur de Rivière-Ouelle. Une chapelle-presbytère de deux étages avec les murs en pierre et deux clochers est érigée. L'étage supérieur sert de logement au curé et de salle publique. Le premier curé est l'abbé Joseph-Marie Bellenger (1788-1856), il ne sera en fonction que pendant deux ans.
En 1845, alors que l'abbé Nicolas-Tolentin Hébert (1810-1888) est curé (1840-1852), les paroissiens décident de construire l'église actuelle. Ils confient les travaux d'architecture et de construction, évalués à 1 750 livres soit environ 7 000 $, à Jean-Baptiste Hébert (1779-1863), père du curé. L'édifice est achevé en 1848 et la première célébration a lieu le 4 août 1848. L'église est bénite par Mgr Modeste Demers (1809-1871), évêque (1847-1871) de l'île de Vancouver, le 9 novembre 1848.
L'édifice, d'inspiration néo-renaissance, un style provenant du classicisme italien, est de forme rectangulaire avec choeur en saillie et abside en hémicycle. La façade et les murs extérieurs sont de pierre. La nef comprend trois vaisseaux et se termine, à l'arrière, par deux tribunes. Sa voûte de bois, en arc de plein cintre, est décorée dans le style néo-classique. Les murs intérieurs sont recouverts de plâtre.
Le 20 octobre 1870, à 11 heures 30, un séisme, centré près de Baie-Saint-Paul et ressenti dans tout l'est du Canada, les deux tours et leurs clochers sont si fortement ébranlés que la décision est prise de les démolir et de reconstruire la façade. L'architecte Georges-Émile Tanguay (1858-1923) propose alors d'ajouter un portail à l'image de la basilique Santa Maria Maggiore (Sainte-Marie-Majeure) de Rome. Cette construction permet d'agrandir l'espace intérieur de l'église qui était devenu trop petit. Les travaux sont exécutés en 1887.
L'abbé Pierre-Joseph-Charles Baillargeon (1843-après 1906), curé de 1883 à 1897, commande au sculpteur Louis Jobin (1845-1928) quatre statues d'archanges, à savoir Gabriel, Michel, Raphaël et Uriel. Ces statues, hautes de 3,7 mètres (12 pieds) et réalisées entre 1891 et 1894, sont placées aux quatre coins du nouveau clocher où loge depuis 1900, un carillon de trois cloches. Malheureusement, un séisme, survenu le 28 février 1925 à 21 h 20, détruit celle d'Uriel. Auguste Dionne (avant 1905-après 1925), un sculpteur local, reproduit alors l’oeuvre de Louis Jobin. Restaurées en 1974, ces quatre statues sont, depuis 1997, postées de part et d'autre de la porte d'entrée, dans l'église pour une meilleure protection. Elles sont classifiées comme « biens culturels » par le ministère des Affaires culturelles du Québec le 5 août 1976.
L'intérieur
En 1853, l'abbé Pierre Patry (1815-1883), curé (1852-1883) confie la conception et la réalisation de la décoration intérieure et du mobilier liturgique de l’église à l'architecte François-Xavier Berlinguet (1830-1916). Celui-ci doit réaliser les trois autels, la chaire, un baldaquin, un baptistère et l'ornement de la voûte et du choeur. Entre 1854 et 1883, il décore la vaste voûte dans un style néo-classique par des éléments gréco-romains tels que des colonnes et des frontons. L'imposant baldaquin est supporté par quatre colonnes ornées de motifs. Les colonnes corinthiennes sont surmontées par des chapitaux ornés de feuilles d'acanthe et de volutes. Les 17 médaillons placés entre les colonnes représentent les vertus de l'Eucharistie tant vénérée par saint Pascal.
En 1900, le chanoine Alphonse-Andronique Beaudet (1852-1933), curé de 1897 à 1917, entreprend une restauration complète de l'église et de la sacristie. Sur la porte du tabernacle de la sacristie, on retrouve un bas-relief doré qui représente une scène du souper d’Emmaüs. En 1925, à la suite du séisme, le haut du baldaquin s'affaisse, et Auguste Dionne le restaure.
Dans le cadre des recommandations du Concile Vatican II, plusieurs changements importants ont lieu : la chaire est transformée en ambon et placée dans le choeur, la balustrade, la table de communion et les autels latéraux sont enlevés, et un autel de célébration a été ajouté.
Deux tableaux (Sainte Marguerite-Marie Alacoque, Saint Pascal Baylon) qui occupent le choeur sont des réalisations de Charles Huot (1855-1930). Deux autres tableaux (La Sainte Famille, l'Assomption de Marie), d’auteurs inconnus, se trouvent dans le transept.
L'orgue
Le premier orgue est fabriqué et installé par Casavant Frères, de Saint-Hyacinthe, en 1900 (Opus 120). C'est un instrument à traction mécanique de 13 jeux répartis sur deux claviers et pédalier. Il a été acquis par l'église Saint-Dominique-de-Bagot en 1964.
En 1964, la jeune équipe du département de traction mécanique de Casavant Frères, dirigée par Lawrence I. Phelps, et à laquelle vient de se joindre Hellmuth Wolff, qui fera sa marque dans la facture québécoise, se voit confier le contrat de l'orgue.
Les premiers instruments construits par cette équipe sont plutôt de conception germanique, mais poussée par une jeune école d'orgue qui remet à l'honneur le répertoire classique français, il faut être en mesure de concevoir un instrument capable de jouer Bach et Couperin.
Le devis d'Antoine Bouchard veut renouer avec la tradition silbermanienne, esthétique d'heureux compromis entre les factures allemande et française avec des anches et des cornets timbrés à la française, des principaux légèrement flûtés et des mixtures cymbalisantes. Il faut noter que c'est la première fois que l'on revient aux anches françaises (tailles selon Dom Bédos) chez Casavant. Cependant, l'on n'est pas encore tellement aux tailles et à l'harmonisation française des jeux à bouche. Mais c'était déjà un grand pas de franchi dans le renouveau de la facture québécoise des années 1960.
Helmuth Wolff fut responsable sur le plan technique et le mécanisme de l'orgue ainsi que dans les tailles, conçues conjointement par Wolff et Phelps.
Acquis au coût de 33 190 $, l'orgue est inauguré le 28 juin 1964 par Antoine Bouchard.
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St. Pascal is a city located in the Kamouraska County Regional Municipality in the Lower St. Lawrence administrative region. It is named to honor Kamouraska landlord Paschal-Jacques Taché (1757-1830), a notary and a militia lieutenant colonel.
History
The Kamouraska seigniory was granted on July 15th, 1674, by Louis de Buade, Count of Frontenac (1622-1698), governor (1672-1682 and 1689-1898) of New France, to Olivier Morel de La Durantaye (1640-1716). The territory is located on both sides of the Kamouraska River on the south bank of the St. Lawrence River.
On November 5th, 1680, the seigniory was purchased by Charles Aubert de la Chesnaye (1632-1702) who bequeathed it, on October 18th, 1700, to his son, Louis Aubert du Forillon (1678-1720). Passing through different owners, it was purchased on January 22nd, 1790, by Paschal-Jacques Taché (1757-1830) whose second wife, Marie-Louise Decharnay (1755-1813) heiress of one half of the seigniory. On February 24th, 1806, Louis-Paschal-Achille (1813-1839), Paschal-Jacques's son, acquired Marie-Louise Decharnay's part and became co-landlord. On his father's death, on June 5th, 1830, he took over the sole ownership of the seigniory. The seigniorial regime was abolished on December 18th, 1854, while the seigniory belonged to Louis-Philippe Chalout (1799-1866).
A municipality was established on July 1st, 1845, but was dissolved on September 1st, 1847, to be established on July 1st, 1855, as a parish municipality. In 1916, it was renamed St. Paschal-de-Kamouraska. In 1939, a village municipality was established with territory coming from the parish municipality. In 1957, the parish municipality became the St. Pascal municipality. In 1966, the village municipality became the City of St. Pascal. In 2000, the parish and the village municipalities were merged to establish the new City of St. Pascal.
The Parish
A mission, dedicated to St. Louis to honor Louis-Joseph Morel of Durantaye, first landlord of Kamouraska, was established in 1667 and was served by the parish priest in Riviêre-Ouelle, located farther west. In 1709, a first parish priest was appointed to the mission and a first wooden chapel was built. The St. Louis-de-Kamouraska mission was canonically established as a parish on October 13th, 1714, by Jean-Baptiste de la Croix Chevrières de Saint-Vallier, bishop (1688-1727) of Québec. The parish priest had, besides his parish, to serve the settlers way up to Rimouski, located at about 100 miles (160 km) farther east. The construction of a second church started in 1727 and was in use until 1793, when the actual church was built.
As more and more people settled in inland areas, some of them were living far from the church and a second parish was needed to serve them in the south section of the seigniory. Bernard-Claude Panet (1753-1833), archbishop (1825-1833) of Québec, canonically established, on June 8th, 1827, a parish dedicated to St. Pascal Baylon with territory coming from the St. Louis-de-Kamouraska parish. Its name honors Paschal-Jacques Taché, landlord of Kamouraska.
The Church
Shortly after the establishment of the parish, landlord Taché donated a piece of land to build a chapel and to set up a cemetery. On December 29th, 1828, Fr Jacques Varin, parish priest in St. Louis-de-Kamouraska, blessed the ground and, the following day, he blessed a bell weighing 312 lb (141,5 kg) donated by Pierre Casgrain, landlord of Rivière-Ouelle. A two-storeyed chapel presbytery with stone walls and two bell towers was built. The upper floor acted as residence for the parish priest and as a public assembly room. The first parish priest was Fr Joseph-Marie Bellenger (1788-1856) who served for only two years.
In 1845, while Fr Nicolas-Tolentin Hébert (1810-1888) was the parish priest (1840-1852), the parishioners decided to build the actual church. They entrusted architecture and construction work, assessed at 1,750 pounds or about $7,000, to Jean-Baptiste Hébert (1779-1863), the parish priest's father. The building was completed in 1848 and the first celebration took place on August 4th, 1848. The church was blessed by Modeste Demers (1809-1871), bishop (1847-1871) of Vancouver Island, on November 9th, 1848.
The building adopts a neo-Renaissance style, a style coming from Classic Italian. It is rectangular with a protruding chancel and a semicircular apse. The facade and the exterior walls are covered with stone. The three-vessel nave ends with two superimposed galleries. Its semicircular wooden vault is decorated in the neoclassical style. The interior walls are covered with plaster.
On October 20th, 1870, at 11:30 a.m., an earthquake, centered near Baie-St. Paul and felt in all eastern Canada, the church's both towers and their steeples were so hardly shaken that it was decided to demolish them and to rebuild the facade. Architect Georges-Émile Tanguay (1858-1923) proposed to add a portal just like the at the Santa Maria Maggiore (St. Mary Major) Basilica in Rome. This construction allowed to extend the church interior which had become too small. Works were carried out in 1887.
Fr Pierre-Joseph-Charles Baillargeon (1843-after 1906), the parish priest from 1883 till 1897, commissioned sculptor Louis Jobin (1845-1928) with the production of four archangel statues, namely Gabriel, Michael, Raphael and Uriel. These statues, 12 feet (3.7 meters) high and executed between 1891 and 1894, were placed at the four corners of the new steeple which houses since 1900, a three-bell carillon. Unfortunately, an earthquake occurred on February 28th, 1925, at 9:20 p.m., and destroyed the one of Uriel. Auguste Dionne (before 1905-after 1925), a local sculptor, reproduced Jobin's work. Having been restored in 1974, these four statues are located, since 1997, on either side of the front door, in the church for a better protection. They were classified as "heritage object" by the Québec Ministry of Cultural Affairs on August 5th, 1976.
The Interior
In 1853, Fr Pierre Patry (1815-1883), parish priest (1852-1883) entrusted the design and the execution of the interior decoration and of the liturgical furniture of the church to architect François-Xavier Berlinguet (1830-1916). He had to execute the three altars, the pulpit, a baldachin, a baptistry and the decoration of the vault in the nave and the chancel. Between 1854 and 1883, he decorated the large vault in a neoclassical style with Greco-Roman elements such as columns and pediments. The imposing baldachin is supported by four columns adorned with patterns. The Corinthian columns are crowned by capitals decorated with acanthus leaves and with volutes. The 17 medallions located between the columns illustrate the virtues of the Eucharist so venerated by St. Pascal.
In 1900, Canon Alphonse-Andronique Beaudet (1852-1933), parish priest from 1897 till 1917, undertook a complete restoration of the church and the sacristy. On the door of the tabernacle in the sacristy, there is a golden bas-relief illustrating the supper of Emmaus. In 1925, following the earthquake, the top of the baldachin collapsed, and Augustus Dionne restored it.
As part of the recommendations of the Vatican City Council II, several important modifications were carried out: the pulpit was transformed in an ambo and located in the chancel, the communion rail and the lateral altars were removed, and a celebration altar was added.
Two paintings (St. Marguerite-Marie Alacoque, St. Pascal Baylon) in the chancel are the works of Charles Huot (1855-1930). Two other paintings (The Holy Family, Mary's Assumption), by unknown artists, are in the transept.
The Organ
The first organ was built and installed by Casavant Frères , of St. Hyacinthe, in 1900 (Opus 120). It was a 13-stop mechanical action instrument with two manuals and pedal. It was acquired by the St. Dominique-de-Bagot Church in 1964.
In 1964, the young team forming the mechanical traction department at Casavant Frères, headed by Lawrence I. Phelps and which was joined by Hellmuth Wolff, who would later start his own workshop and become a well-known organbuilder in the Québec organbuilding industry, was chosen to build the organ.
The first instruments built by this team were mainly of German aesthetics, but urged by a young organ school who wanted to bring back French classical literature, it became imperious that the instrument be built to play Bach and Couperin.
The stoplist, designed by Antoine Bouchard, renews with the Silberman tradition: a good compromise between the German and the French organ tradition with reeds and cornets voiced "à la française", principals with flute-like voices, and mixtures based on cymbals. It is the first time that French reeds (voiced after Dom Bédos) were ever built by Casavant Frères. Even though, voicing and tuning on mouth stops are not really close to the French tradition, it is a great step forward in the Quebec organbuilding renewal movement of the 1960s.
Hellmuth Wolff was mainly responsible for the technical design and the organ action while the voicing was jointly executed by Wolff and Phelps.
Purchased at the cost of $33,190, the instrument was inaugurated on June 28th, 1964, by Antoine Bouchard.
Grand Orgue |
Récit |
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Quintaton | 16' | Salicional | 8' | |
Montre | 8' | Flûte bouchée | 8' | |
Flûte à cheminée | 8' | Flûte conique | 4' | |
Prestant | 4' | Flûte à bec | 2' | |
Doublette | 2' | Sesquialtera | II | |
Fourniture 1 1/3' | VI | Voix humaine | 8' | |
Cornet | V | Tremblant | ||
Trompette | 8' |
Positif |
Pédale |
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Bourdon | 8' | Montre | 16' | |
Prestant | 4' | Soubasse | 16' | |
Nazard | 2 2/3' | Principal | 8' | |
Doublette | 2' | Soubasse | 8' | |
Tierce | 1 3/5' | Octave | 4' | |
Larigot | 1 1/3' | Fourniture 2' | IV | |
Cymbale 1/2' | IV | Bombarde | 16' | |
Cromorne | 8' |